Le pôle AXELERA vous met à disposition les informations, mesures et appels les plus utiles durant cette deuxième période de confinement liée au COVID-19. Vous pouvez également nous faire part de vos suggestions afin d’alimenter cette page.
Des mesures d’urgence ont été mis en place par le gouvernement pour accompagner les entreprises impactées par la crise.
Découvrez touts les mesures sur le site du Ministère de l’Economie :
Le formulaire destiné à bénéficier du fonds de solidarité au titre des pertes du mois d’octobre 2020 est désormais en ligne sur le site web de la DGFIP. La demande doit être déposée au plus tard le 31 décembre 2020.
Les entreprises doivent remplir les critères suivants :
ASSOUPLISSEMENT DE CERTAINES CONDITIONS D’ELIGIBILITE
/!\ VIGILANCE
Printemps 2020 – La condition de baisse du chiffre d’affaire de 80% sur la période du 15 mars au 15 mai 2020 est toujours applicable pour les secteurs des annexes 2.
Octobre 2020 – Pour le mois d’octobre en revanche, les entreprises de l’annexe 2 avec une perte de chiffre d’affaires inférieure à 80% du 15 mars au 15 mai 2020 n’ont accès à une aide que si :
Novembre 2020 – Néanmoins, si les entreprises des secteurs en annexe 2 ont subi une baisse de leur chiffre d’affaires d’au moins 50% sur novembre, elles ont accès à une aide allant jusqu’à 1 500€.
A la suite de la deuxième vague de la Covid-19, un amendement du Gouvernement au projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) pour 2021 qui a été adopté au Sénat instaure un nouveau dispositif d’exonérations de cotisations sociales et d’aide au paiement URSSAF pour les TPE-PME particulièrement affectées par les conséquences économiques et financières de la crise sanitaire.
Ce nouveau dispositif est complémentaire à celui de la troisième loi de finances rectificative pour 2020 adoptée cet été et en certains points analogue.
>> Accéder à la note sur le nouveau dispositif d’exonérations de cotisations.
La Direction Générale des Finances Publiques (DGFIP) a annoncé des mesures exceptionnelles pour le paiement du solde de cotisation foncière des entreprises (CFE) de 2020 pour les entreprises touchées par la crise.
Les entreprises qui se trouveraient en difficulté pour payer leur CFE au 15 décembre 2020, notamment parce qu’elles subissent des restrictions d’activité pour des motifs sanitaires, peuvent obtenir, sur simple demande, un report de 3 mois de leur échéance. La demande doit être adressée, de préférence par courriel, auprès de votre service des impôts des entreprises dont les coordonnées figurent sur votre avis de CFE. Pour les entreprises mensualisées, la demande de suspension du paiement doit également lui être transmise d’ici le 30 novembre. Pour les entreprises prélevées à l’échéance, elles peuvent, sous le même délai, arrêter leur prélèvement directement depuis leur espace professionnel sur impots.gouv.fr.
Par ailleurs, les entreprises prévoyant de bénéficier au titre de 2020 d’un plafonnement de la contribution économique territoriale (CET) en fonction de la valeur ajoutée pourront anticiper le dégrèvement attendu en l’imputant directement sur le montant du solde de la CFE 2020. Une marge d’erreur exceptionnelle de 20 % sera tolérée pour cette imputation et aucune pénalité ne sera appliquée. Les entreprises concernées sont invitées à en informer leur service des impôts des entreprises, de préférence par courriel.
A noter : Pour les grandes entreprises, comme pour l’ensemble des mesures de trésorerie exceptionnelles mises en œuvre depuis le début de la crise sanitaire, les reports d’échéances sont réservés aux entreprises ne procédant à aucun versement de dividende ou rachat d’actions en 2020 et n’ayant pas leur siège fiscal ou de filiale 2/2 sans substance économique dans un État ou territoire non coopératif en matière fiscale.
Dans le cadre d’une future ordonnance à paraître prochainement, la date butoir pour organiser les entretiens professionnels et les bilans à 6 ans des salariés concernés cette année devrait être repoussée au 30 juin 2021. Elle est pour le moment fixée au 31 décembre 2020.
RAPPEL
Depuis 2014, chaque salarié a droit, à compter de sa date d’embauche, à un entretien professionnel tous les 2 ans et à un entretien « bilan » de son parcours tous les 6 ans. Cet entretien « bilan » est l’occasion pour l’employeur de vérifier que le salarié a bien bénéficié de tous ses entretiens professionnels et d’au moins une action de formation non-obligatoire.
Les sanctions, en cas de contrôle par l’administration et de non-respect de ces obligations, sont lourdes : l’employeur d’au moins 50 salariés doit en effet verser, spontanément, 3 000 € sur le CPF de chaque salarié concerné (article L. 6315-1 du Code du travail).
Face aux difficultés des entreprises, le MEDEF a de nouveau demandé un report de 6 mois minimum – et d’un an idéalement – de la date butoir et a donc été entendu. Ainsi, les entreprises ne pourront donc pas être contrôlées et sanctionnées avant le 30 juin prochain pour non-respect de leurs obligations en la matière. En revanche, si elles ne les respectent pas malgré ce délai supplémentaire, elles seront susceptibles, à compter du 1er juillet 2020, d’être contrôlées et sanctionnées.
Le décret n°2020-1365 du 10 novembre 2020 et publié au Journal officiel le 11 novembre a élargi les critères définissant les personnes dites vulnérables pouvant bénéficier de l’activité partielle telle que prévue par la loi de finances rectificative du 25 avril 2020.
Un numéro spécial d’information sur les mesures d’urgences pour les entreprises et les associations en difficulté est effectif depuis ce matin lundi 2 novembre 9h00.
Ce numéro est accessible du lundi au vendredi de 9h à 12h puis de 13h à 16h.
Il est conçu pour renseigner et orienter les professionnels vers les différentes aides d’urgences mises en place. Ce service est assuré conjointement par la Direction générale des finances publiques et l’Urssaf qui mobilisent chacun deux centres d’appels pour mener à bien cette mission d’information.
Afin de faciliter le téléchargement de l’application TousAntiCovid, veuillez trouver toutes les informations nécessaires à son utilisation.
A ce jour, près de 7 000 0000 de français l’ont téléchargée et activée.
Cette application vise à faciliter l’information des personnes qui ont été en contact avec une personne testée positive à la COVID-19 et à accélérer leur prise en charge. Elle complète l’arsenal des mesures barrières déjà existantes face à la COVID-19.